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Madame CEBRON et réponse aux commentaires,
Vous vous trompez complètement : nous n’attaquons pas Monsieur Maskar et ne mettons pas en cause ni sa compétence, ni ses qualités. Nous contestons uniquement les méthodes de Monsieur le Maire qui, manifestement, ignore les lois rigoureuses qui gèrent le personnel de la fonction publique Française.
Effectivement, Monsieur Goua a choisi – mais le mot n’est pas exact – il a sans doute décidé de promouvoir un agent de catégorie C sur un poste de catégorie A par mesure d’économie. Personne ne dit que Monsieur Maskar n’a pas les compétences. Le plus lésé dans l’affaire sera cet agent qui aura accompli une tâche passionnante à tarif réduit et qui n’aura pas la retraite correspondante. Croyez-vous qu’un sergent puisse donner des ordres à un général même s’il est plus compétent que le général ??? Eh bien non madame, cela n’est pas possible dans la fonction publique Française.
D’ailleurs, monsieur Maskar n’a pas le grade, il n’a que le titre et sans doute, sans le salaire équivalent. Par contre, Monsieur le Maire pourrait l’inscrire sur une liste d’aptitude et le faire ainsi passer au grade immédiatement supérieur. Ce qui serait déjà une promotion pour monsieur Maskar.
Vous dites : « Le choix a été de valoriser les ressources en interne ; c'est plutôt valorisant pour le personnel ». Oui en effet, nous sommes tout à fait d’accord, mais il aurait été plus valorisant que Monsieur le Maire demande l’ouverture d’un poste équivalent et un concours. Croyez bien que ce n’est pas un acte généreux de la part de Monsieur Goua, car cela l’arrange bien d’avoir du personnel qualifié à bas coût (ce n'est d'ailleurs pas le seul service où il se passe des choses semblables).
En ce qui concerne les propos à l'égard de madame Jocelyne PICHEREAU, je ne comprends pas le ton que vous employez. Je pense qu'elle connaît suffisamment le terrain pour en parler avec sincérité et professionnalisme. Ce n'est pas très louable de votre part de lui répondre de cette façon.
Avant de nous répondre, merci de bien relire l'article.
Retour sur les différents articles du Courrier de l'Ouest
Retour sur les différents articles du Courrier de l'Ouest sur le directeur du Festival de Trélazé nommé après le départ de monsieur Claude Henri SELLES.
Monsieur Rédoine Maskar est très certainement une personne très bien et un bon citoyen, cependant monsieur le maire de Trélazé a oublié les règles de l’administration en nommant monsieur Rédoine Maskar directeur du service événementiel et directeur du festival de Trélazé.
Ce poste est un poste à responsabilité qui ne peut être confié qu’à un agent de cadre A. Or, monsieur Rédoine Maskar est un agent de cadre C et ne peut donc assumer ces responsabilités car il peut être amené dans ses fonctions à donner des ordres à des agents des cadres B et A, ce qui est dans l’administration, fut-elle territoriale, totalement inconcevable. Même si monsieur Maskar bénéficie d’une prime ( les primes ne comptent pas pour le calcul de la retraite ), cela ne lui permet pas d’être directeur du festival et ne lui donne absolument aucune légitimité.
Aujourd’hui, monsieur Rédoine Maskar n’est absolument pas habilité à encadrer une équipe. Dans l’administration territoriale il lui faudrait d’abord passer des concours internes pour accéder au cadre B, puis attendre quatre ans avant de pouvoir prétendre à passer un concours pour accéder à un cadre A. Tout cela implique qu’un budget soit alloué. Ce qui sous-entend des créations de postes à la mairie de Trélazé.
Monsieur Goua, renseignez-vous et respectez les lois régissant le personnel territorial et nommez à ce poste un agent de cadre A, sans cela vous êtes dans la plus grande illégalité, la fonction publique territoriale est régie par des lois et règlements et nul ne peut y déroger.
2) 2018-2019
C’est avant tout à l’État et à la justice que revient la responsabilité de réguler et de contrôler l'utilisation de l'argent des contribuables.
La situation à Trélazé est si dramatique que Marc GOUA n’a eu d’autres choix que de mettre le collectif au cœur des problèmes en vue des prochaines élections municipales. Pour autant, sa réponse au collectif ( soi-disant harcèlement du collectif ) tombe complètement à côté de l’urgence économique. Les propositions votées par la majorité au conseil municipal, ne répondent a aucun problème profond. Si Marc GOUA veut effectivement « répondre au Trélazéens », comme il l’a annoncé devant des médias conciliants, il doit prendre des mesures concrètes et partir lui et sa suite pour stopper toutes ces dérives qui n'ont que trop durées. Des solutions existent pour préserver Trélazé, la candidature du sieur GOUA à 80 ans, auto proclamé maire à vie, n’a de solution que le nom !
Marc GOUA et son inaction
Puisque Marc GOUA nous balade sur tout, faisons-lui payer sa propre addition : dénonçons l’abîme entre ses discours et ses actes, appelons à multiplier les actions car l’urgence financière, sociale et environnementale est telle qu’il faut tout tenter.
Stop au carnage : la pression doit monter pour les prochaines élections.
Impulsons une dynamique digne de ce nom pour Trélazé. Il faudra, en 2020 lors des prochaines élections, prendre ses responsabilités. Le collectif continuera a remobiliser les Trélazéens. Objectif, relever les ambitions d'une nouvelle liste pour se mettre en accord avec les Trélazéens et répondre aux véritables souhaits de la population ou Trélazé croulera définitivement sous les dettes.
Parce que des actes concrets sont aujourd'hui urgents, le temps des discours est révolu ! Nous appelons à une mobilisation générale de la population pour qu' enfin Trélazé redevienne une ville saine.
Il faut nettoyer Trélazé au sens propre comme au figuré.
1) 2018 - 2019
De la communication à tour de bras, des effets d’annonces, mais aucune action sérieuse sur la gestion globale de Trélazé et le devenir de la ville.
Comme à son habitude, Marc GOUA s’est illustré par ses discours toujours aussi mensongers, qui rendent son inaction et son incompétence toujours plus grandes, sur la gestion catastrophique plus criante encore.
Toujours des annonces inattendues, déconnectées de l’urgence de tous les jours.
Marc GOUA retourne sa veste autant de fois que nécessaire.
Il y a quelques temps, nous signions des lettres ouvertes pour appeler à stopper la réélection d'une suite en déroute menée par Marc GOUA. Nous appelions les Trélazéens à soutenir les droits et la dignité humaine, et donc à faire pression sur Trélazé et la politique de son maire et de sa cour. La réaction de Marc GOUA à l’époque ? Un silence assourdissant. Idem lorsque dans l'année 2018-2019 nous avons fait des interviews pour dénoncer le drame que vivaient bon nombres de personnels, silence radio total...
Il aura fallu que nos articles sur les réseaux sociaux et courriers en tous genres fassent la une, pour que Marc GOUA s’élève contre le collectif en prétextant la diffamation. Après avoir fait lui même subir tous ces harcèlements avec le soutien de sa suite et le silence complice des institutions de la république et médicale pendant des années ???, un comble.
Alors que l’attention du grand public, de l'état et de la justice est tournée sur Trélazé, Marc Goua a beau jeu de faire semblant de se réveiller, pourtant il continue de tenir une politique basée sur l’urbanisation intensive et anarchique, une gestion toxique basée sur le copinage ce qui contribue à la destruction d'une économie qui sera durement éprouvée à terme pour les Trélazéens.
Festival de Trélazé : une énième poudre aux yeux...
Le coût du festival représente, à lui seul, un niveau important du budget annuel de la mairie. C’est un loisir gourmand en finances et personnels municipaux, et surtout qui exploite une main d’œuvre bon marché dans des conditions précaires et illégales ( les jeunes bénévoles). Il est urgent et indispensable de revoir le festival de Trélazé. Au lieu de cela, Marc GOUA a confié à une bande de copains le soin de se fixer leurs propres normes, créant ainsi une situation de conflit d’intérêts évidente.
Chers Trélazéens,
J’espère que vous avez passé un bel été, loin des tracas du quotidien.
La rentrée approche à grands pas et les élections, c'est pour 2020.
Avec le collectif, nous sommes déjà sur le pied de guerre, prêts à nous battre encore pour une justice équitable et protectrice pour tous.
Croyez-nous, les sujets ne manquent pas, surtout à Trélazé...
Nous publions souvent des articles sur Facebook, tweeter, madphotovideo.over-blog.com, ect... Pour tirer la sonnette d’alarme concernant la très mauvaise gestion financière et humaine, l’urbanisation anarchique, l'Aréna Loire, digne d'un feuilleton pour lequel je n'ai même pas de qualificatif tellement c'est grotesque, etc... de la ville de Trélazé. Tout ceci sans compter la montée de ces violences gratuites qui traduisent l’ensauvagement de notre société.
Selon les premiers éléments de notre enquête, nous pouvons vous dire aujourd'hui que nous avons tapé très fort et très haut à beaucoup de portes en haut-lieu, et nous ne nous arrêterons pas là. Nous comptons bien bousculer tous les codes de la république afin que chaque responsable de quelque niveau qu'il soit puisse être cité et puni pour n'avoir pas fait respecter les lois de la république qui normalement devraient s'appliquer à tous.
Comme vous avez pu le voir et le lire, notre combat reste plus que jamais nécessaire. Et nous avons bien l’intention de le mener à terme et sans faiblir, pour vous et grâce à vous.
La force du collectif Trélazé 49, ce sont d’abord ses adhérents et tous ceux qui le soutiennent et qui se battent à ses côtés.
Alors, pour cette rentrée, vous pouvez nous aider en partageant tous nos articles parus et à venir, par Facebook, tweeter, madphotovideo.over-blog.com, par émail, à tous vos contacts.
Plus nous serons nombreux à partager, plus nous pourrons faire entendre notre voix.
C’est grâce à ce genre d’action, qui ne prend que quelques minutes, que nous pouvons nous imposer comme des acteurs incontournables, dans tous les débats de justice.
Nous comptons sur vous.
