Les Trélazéens, prêts à en découdre

« Les Trélazéens, prêts à en découdre, commune des droits de l’homme, mes fesses oui ! »...

Les Trélazéens, sauront sortir de cette monarchie absolue, avec un ordre de faux bourgeois campé vers le maintien de l’ordre établi et des conventions qui enferment chaque individu dans un avenir déterminé à l’avance.

Il y eut avec le collectif, la libération de la parole non plus réservée qu'au maire et à sa suite, le retour à de vraies discutions participatives, le refus d'une gestion de consommation programmée et absurde, des Trélazéens, animés d’une recherche nouvelle de bien-être.

Et même si les Trélazéens ne se font pas d'illusions sur des lendemains qui changeraient radicalement leur vie, cela vaut la peine de continuer à chercher comment améliorer le futur de cette petite commune, perdue depuis votre nomination monsieur GOUA, qu'on se le dise... mais cette fois ci, sans vous et votre suite, monsieur le maire, Trélazé se reconstruira.

Mais l’ordre GOUA est bien présent, et ceux qui ont le pouvoir de l’argent sont très déterminés à ne pas perdre un centime de ce pouvoir et ce, à n’importe quel prix.

Les Trélazéens se sont faits avoir sur toute la ligne et, cerise sur le gâteau, oups ! dois-je dire plutôt dans le..., ils nous ont ressorti la guillotine, mais façon levrette avec le tube de vaseline en prime, le passage en douceur à la manière des énarques qui pensent à notre place. Les soixante-huitards sont rentrés dans le moule du travail et ont repris le chemin de la consommation. Certains sont devenus chefs d’entreprises, et beaucoup ont trouvé leur place dans les médias et la politique. Et le fait de revêtir une veste à carreaux et une écharpe grise et noire, ne les a pas empêchés de revenir à une conception du pouvoir qu’ils auraient complètement reniée dans leur turbulente jeunesse, mais sans le dire et sans que cela se sache...

Les Trélazéens ont été trompé par ceux-là même qui combattaient le pouvoir à l'époque, par les politiques et la consommation de masse. Puis est venue l'entrée des téléviseurs dans nos chers foyers et, plus tard, Internet et nos smartphones ( toujours penché dessus, monsieur le maire, même pendant les réunions et, comble de l'incorrection, pendant les concerts ) qui au lieu de nous ouvrir au monde, nous libérer et nous enrichir de connaissances, nous ont isolés peu à peu du monde réel. Puis, devant l’illusion d’une éducation soit-disant populaire que véhiculent volontiers, les médias, la télévision, devenue instrument de propagande médiocre, et surtout les tromperies d’un parti socialiste et de ses « politiques » qui prétendent représenter le peuple au nom de je ne sais quelles règles, alors qu’ils ont accepté la construction de la « fée Europe » de la finance au service des banques !

Les Français seraient-ils devenus amnésiques ?...

Ils nous ont tous bernés en beauté, avec notre consentement, toujours bien veillant.

Le réveil sera pour quand ???

Cela fait longtemps que les décisions concernant nos simples vies sont sous le contrôle des politiques, de la presse et de la finance a qui nous donnons chaque jour de plus en plus de pouvoir sur cette terre.

Tout ce qui faisait notre démocratie est partie littéralement en fumée, masquée depuis plus de soixante ans « en esclavage moderne », et plébiscitée par le peuple au prétexte qu’elle devait rendre le pouvoir moins élitiste et favoriser l’accès des individus issus des classes populaires au savoir, mais de quel savoir parle-t-on ?…

Tout ce qui a été supprimé de nos acquis sociaux et de notre système de redistribution l’a été pour des raisons soit-disant « nobles ». La fée Europe qui devait être une Europe sociale, n'est-ce pas, monsieur le maire ?... alors qu’on supprimait dans le même temps de nombreux droits au nom de l’harmonisation européenne. L’atteinte aux droits des travailleurs, l’acceptation de normes entraînant la mort d'un grand nombre de personnes au nom de la mondialisation, la recherche du profit monsieur le maire, érigé en règle au nom du pragmatisme, etc..., tout cela, en votre qualité de député, vous y avez largement contribué.

Le mal est fait et tant pis pour les dommages collatéraux.

Cela fait des années que l’on critique ces précurseurs, le collectif, les Trélazéens qui avaient compris avant tout le monde que le danger était à nos portes et qu’il fallait agir. Tous ceux qui, depuis quelques années, essaient d’alerter sur les dérives grandissantes et autres empreints toxiques du maire et sa suite, ou sur une politique faite pour les riches, au détriment des chômeurs, des pauvres et des classes moyennes, sont moqués, traités de doux rêveurs, futurs responsables de pertes d’emplois parce que, soit-disant, si l’on veut imposer des normes sociales ou environnementales aux entreprises, on va entraîner la faillite de celles-ci, mais à qu'elle misère intellectuelle sommes nous rendus ou dois-je dire plutôt à quelle école de la médiocrité…

Quand on voit ce qu’il advient de toutes ces entreprises internationales, accueillies à prix d’or sur notre territoire avec une défiscalisation complètement irresponsable et qui viennent piller notre savoir faire et notre technologie afin de les réimporter chez eux pour pouvoir nous les revendre à prix d'or ensuite, toujours avec l'aval de nos politiques qui, au passage se sont vu octroyer une prime substantielle, et qui partent quand elles veulent en laissant sur le carreau des salariés désespérés et sans perspective.

Quel est l’intérêt ?

L’intérêt est énorme pour les capitalistes et les politiques qui leurs servent la soupe dans le creux de la main. Le risque est catastrophique pour les salariés.

La propagande a fait beaucoup de progrès. Elle s’appelle désormais communication. Il y a la façon de dire les choses pour faire passer son point de vue, mais aussi la manière d'agir au niveau politique, comme de lancer une question sociale non consensuelle au moment où on fait voter une loi critiquée.

Le problème, c’est que la façon de faire passer les messages n’est plus un art de la manipulation, mais un art de gouverner. La volonté de faire avancer l’intérêt personnel et le pouvoir des capitalistes au détriment des droits humains.

Marc GOUA a juste oublié que les Trélazéens, se révolteront, et que le développement d’un nouveau pouvoir totalitaire, se heurtera à une riposte qui sera cette fois-ci sans appel. Et comme les finances et la politique de marc GOUA sont désastreuses, le rejet de celles-ci le sera aussi.

De même, cette primauté du profit a entraîné les décideurs à ne pas tenir compte de l’impact de leurs décisions sur l’environnement, sur l' urbanisation catastrophique, sur une insécurité grandissante, sur une gestion complètement irresponsable, sur des nominations parfaitement illégales, l’atteinte sera générale, définitive et dévastatrice.

C’est d’ailleurs ce qui va précipiter la chute de marc GOUA et sa suite, à juste titre.

Il y aura d’autres prises de position irresponsables si Marc GOUA reste au pouvoir, et qui vont coûter très cher en terme d’impôts et de dette toxique toujours grandissante. Mais cela va durer tant que ces tyrans qui n’ont aucun sens du bien commun resteront aux manettes.

Les Trélazéens, sont tous prêts à en découdre.

Un jour très très proche, ces colères convergeront dans un mouvement global dont on pressent les prémisses.

Les inconséquents qui les dirigent auront compris que le jeu est fini et qu’ils perdront les privilèges qu'ils ont volés aux Trélazéens…