Je publierai ma prochaine mise en examen !!!

Je reviens sur les attaques en diffamation soit disant proférées envers un représentant de la République, le maire de Trélazé.

Par l'intermédiaire de son avocat, le maire de Trélazé vient de me mettre en examen auprès du TGI (Tribunal de Grande Instance d’Angers).

Je tiens à lui expliquer qu’il s’agira, cette fois ci, d’un vrai procès et que je tiendrai publique, car vous avez tous le droit de savoir ce qui va réellement se passer. Je ne suis pas le genre de personne que l’on peut réduire au silence par des intimidations de procès. Ça c'est dit...

Monsieur,

C’est avec beaucoup d’attention que j’ai lu vos accusations me concernant par trois envois en recommandé, que je ne manquerai pas de publier ainsi que mes réponses, car là, c'est du jamais vu ???

M’intéressant de près à la protection et au bien être des personnes, à l'humain dans toute sa totalité depuis plus de trente ans ( pour une vraie justice ), je souhaite revenir sur vos propos et essayer de suivre votre stratégie, car de raisonnement il n'y a pas.

Oui, il faut que la justice fasse son travail, et cela devrait aussi, ou devrais-je dire surtout, s'adresser à vous monsieur, quant il s’agit de personnes sensées représenter l'autorité de la république, et de surcroît la protection de vos employés.

Mais, qu’est-ce que cela implique vraiment ?

Une diffamation politique ?

La diffamation, toujours selon votre interprétation bien sûr, qui serait fondamentalement, il faut le dire, « politique » en vue des prochaines élections, tout le monde en convient.

Non, à la « diffamation », nos avocats s’occuperont de faire leur travail.

Non aussi à la « chute fatale » par votre comportement d'un bon nombre de personnels municipaux, connus de tous depuis des années et que rien ne justifie,

Non à l’explosion des inégalités,

Non au discrédit toujours grandissant envers les associations, les institutions, dois-je vous rappeler que j'ai été président du Trélazé boxing club !!!

Non à la crise économique, qui est bel et bien le fruit de « l’activité humaine »...

Nos alertes, celles du collectif, parle bien du mal être tragique englué dans un climat délétère. Ensuite, vous faites une critique, et je ne peux que vous interpeller, une critique fausse que nous allons démontrer et prouver juridiquement, de l’imposture portée par des « esprits malins ». Le mot est faible, votre vérité n’existe pas.

Nous savons ce que nous devons faire. En résumé, nous devrons rétablir la vérité pour tous. Comment travaille le personnel à la mairie, quand ont sait que de nombreuses employé(e)s s' y sentent en danger depuis de nombreuses années, au point de partir, de demander leur mutation, de faire des dépressions et des tentatives de suicides. Comment travailler et trouver sa place dans de telles conditions ?

Ils sont prisonniers de ceux-là même qui se disent représentants des institutions. Risible pour les personnes lucides que nous sommes.

Donc, pour résumer, il faut un changement radical sinon on va dans le mur. Vous me direz, nous y sommes déjà, tous les indicateurs nous le montre et vous les connaissez parfaitement, pour les avoir lu dans tous nos articles.

Vous poursuivez votre course en avant, tout en continuant de laisser de côté la population.

La continuité face à un changement ?

Tout le monde ou presque en convient ? Eh bien nous, non. La mise en place d'une équipe, même en partie renouvelée, serait préjudiciable aux plus démunis, comme à tous les Trélazéens.

Comment ? Et pour quel usage l'intérêt des Trélazéens doit-il prévaloir avant toute démarche personnelle ?

Se pose aussi, et surtout, la question de notre système capitaliste caché sous de pseudos parties politiques moribonds, de cela les français n'en veulent plus.

A travers ces réflexions et débats, l’enjeu est de construire des transitions démocratiques et sereines pour consommer moins, mais mieux, pour produire moins, mais partager mieux, engager la relocalisation solidaire des activités associatives.

La première des décroissances doit être celle des inégalités. La société est prête.

A quand un grand débat sur ces questions complexes, mais concrètes et prêtes à être mises en place ?

Allez-y !!!

Cette lettre ne s’adresse pas à M. GOUA en tant que citoyen, rien de personnel ici, mais à la personne publique et politique.